Nicolas Sarkozy prépare la chasse au téléchargement illégal

Moi j'ai récupéré la ligne neuf désactivée de mon prédecesseur sans passer par ft.

parce que tu as changé de logement??

Il faut qu'il se renseigne .
Tu peux le faire par Internet je pense.
Si tu déméménages et qu'il y a déjà une ligne de téléphone tu es sauvé.
Moi je ne suis sûr de rien ,mais c'est un peu logique puisque pour l'instant tout appartient a FT
.

Charlie a écrit:

Dégroupage total, ce qui veut dire ?

La j'avoue que je suis pommé!

un peu de technique (selon wikipedia) :

Dégroupage : Qu'est-ce que c'est ?


Le dégroupage est une opération technique permettant l'ouverture du réseau téléphonique local à la concurrence. En effet, les opérateurs tiers ne disposent pas de la boucle locale (partie de la ligne téléphonique (paires torsadées de cuivre) allant du répartiteur de l'opérateur téléphonique jusqu'à la prise téléphonique de l'abonné. Physiquement, il s'agit de tous les câbles urbains que l'on peut voir dans les rues, des câbles souterrains et même de la paire torsadée de fils arrivant chez l'usager.) qui appartient à l'opérateur télécom historique du pays. Le dégroupage permet aux opérateurs tiers d'accéder à cette boucle locale, soit en partie par le biais du dégroupage partiel, soit en totalité par le biais du dégroupage total.

La loi oblige (en France, et dans l'Union européenne) en effet l'opérateur historique à fournir un accès dégroupé à la boucle locale aux opérateurs alternatifs. Pour ce faire, il doit proposer aux opérateurs une salle de colocalisation située à proximité de ses installations, afin de pouvoir les relier aux équipements qu'y installeront les opérateurs.
De ce fait, les opérateurs tiers ne sont pas tenus d'investir dans cette partie du réseau, qui va du central téléphonique à la prise de l'utilisateur.

L'opérateur historique est rémunéré pour l'entretien de la boucle locale, mais pas pour l'amortissement de ses investissements

Citation :

parce que tu as changé de logement??

Non, en fait j'habite touours chez mes parents depuis 31 ans

Tanguy!!!!

Charlie a écrit:

Je sais qu'il y a une prise téléphonique déjà présente...

mais est ce qu'elle doit-être connectée à une ligne ?

Une prise sans ligne ne sert à rien non?

Bien oui.


s'il y a déjà une prise téléphonique ça doit être bon.
Choisi ton Fai et voit avec eux.

ils demanderont a FT

Fai = celui qui va te connecter

et s'il n'y a pas d eligne alors là ....

pytheas a écrit:

Citation :

parce que tu as changé de logement??

Non, en fait j'habite touours chez mes parents depuis 31 ans

ça ne m'étonne pas

C'est pas cher, ça embette juste ma copine

Perso, j'ai eu de gros problèmes avec Neuf. Un an que l'on a résilié leur contrat, et ils nous envoie encore des factures. On a arrété car d'une part, le réseau n'est pas terrible (déconnections régulières) et d'autres parts, ne nous facturaient jamais selon ce qui était prévu. Après, quand tu as un problème avec eux, ils sont injoignables.

Maintenant, je suis à Orange et ils font toujours des factures en accord avec ce qui était convenu dans le contrat. Je n'ai encore jamais eu de problèmes de connection avec eux. De plus, quand on a un problème, on peut se déplacer, car il y a des magasins Orange partout. Voilà, c'est mon conseil.

Suite des événements :

Citation :

Chargé de mission, Denis Olivennes, le PDG de la Fnac, veut finaliser des accords d'ici à mi-novembre.


JE VEUX faire « un Grenelle de la gratuité » a lancé Denis Olivennes, PDG de la Fnac et chargé par le ministre de la Culture et de la Communication, Christine Albanel, et le ministre de l'Économie, Christine Lagarde, d'une mission sur la lutte contre le piratage et pour le développement des offres légales musicales, audiovisuelles et cinématographiques. Ce terme de gratuité n'est pas innocent. Il englobe à la fois la nécessité de changer l'état d'esprit des internautes pour qui le téléchargement de fichiers sur Internet doit être gratuit - donc piraté - et l'idée que les professionnels doivent inventer de nouveaux modèles économiques dont le recours à la publicité pour financer le téléchargement légal.


La mission de Denis Olivennes est de réunir les créateurs, les producteurs et les fournisseurs d'accès à Internet (FAI) pour enfin aboutir à des accords interprofessionnels capables d'inverser une tendance très grave pour les industries culturelles : 1 milliard de fichiers ont été piratés sur Internet en 2006, conduisant à une chute de 20 % des ventes de disques au premier semestre. Une mission apparemment impossible.


Déchirements et lobbies


Depuis des années, tous les acteurs se déchirent sur ces questions. Longtemps, les professionnels de la musique ont accusé les FAI d'encourager le piratage. Aujourd'hui, ce sont ceux du cinéma et de l'audiovisuel qui font le même reproche. Ces différents lobbies ont fait capoter tout accord sur la place de la vidéo à la demande (VOD) dans la chronologie des médias et ont pesé de tout leur poids lors de la discussion de la loi sur le droit d'auteurs et les droits voisins. Cette loi, votée en 2006, a débouché sur une véritable usine à gaz. Là où la loi a échoué, le PDG de la Fnac veut trouver des solutions contractuelles. « Aujourd'hui, les esprits sont mûrs pour faire avancer les choses. Il n'est pas impossible que l'on puisse passer d'une situation de confrontation à une situation de coopération », espère-t-il. De fait, depuis deux mois, les discussions ont beaucoup avancé. Dans le cinéma, un accord sur la VOD pourrait aboutir rapidement. Il ouvrirait la voie à un autre accord sur la télévision en différé (catch up TV) dont les premières initiatives ont été annoncées par France Télévisions et France Télécom, mais aussi par Canal +. Un autre accord très important pourrait être conclu. Celui qui instaurerait, enfin, une réponse graduée au piratage. Ce concept, qui avait été inscrit dans la loi droit d'auteurs, a été retoqué par le Conseil constitutionnel. Aujourd'hui, Denis Olivennes doit convaincre les FAI de prendre leurs responsabilités et d'inscrire cette réponse graduée dans le contrat avec leurs abonnés. Cette réponse débuterait par l'envoi de messages d'avertissement pour finir sur l'interruption de l'accès à Internet en cas de récidive. Denis Olivennes espère parvenir à une série d'accords en novembre. L'idée est d'insuffler une dynamique qui permettrait de réajuster ces accords dans le temps en évitant de figer les situations dans des lois inapplicables.