Développement structuré.

En économie, j'ai eu un développement structuré à faire, et je voudrais savoir votre avis, sur ce que vous auriez intégrer dans cette partie. Voici le sujet :

Comment dans un environnemet de plus en plus mondialisé, les entreprises tentent de répondre au nouvelles exigences de l'impératif de compétitivité ?

Lorsque vous m'aurez exposé vos idées, je vous donnerez les idées que j'ai dévelloppé, celles de certains de mes camarades, ainsi que ce que la prof attendait lorsque j'aurais la correction. Perso, avant d'arriver au ds, je penssais que j'aurais 2, et là, maintenant que le ds est fini, je pense avoir au moins 10. J'ai été très inspiré, mais étant donné que de mettre les formes, ca me fait c****, et que je ne l'ai pas fait, je vais avoir quelques points en moins.

Ne donnez que les idées et le pourquoi de ses idées, pas le développement structuré.

Quand j'ai lu le sujet, j'ai eu pleins de ???????????????????? dans ma tête, et d'un coup, je ne sais pas pourquoi, j'ai eu une idée, puis une autre, et au final, ca me fait un beau développement structuré d'un peu plus d'une page. Sachant que j'écris très petit, ca fait l'équivalent d'un peu plus de 2 pages. Pas mal non ? Entre ça et rendre copie blanche, il y a de la marge.

Sans y avoir beaucoup réfléchi,j'aurai dit :
1)qu'est-ce que la compétitivité?Il y a le prix mais aussi le hors-prix ( qualité).Baisser les salaires ne donne pas forcément de la compétitivité : que l'Airbus coute 2000 euros de moins ne changera pas grand chose.Ceux qui en commandent ne sont pas a 200 euros près.De même, l'industrie allemande a une bonne qualité sur tous ses produits industriels, ce qui lui permet d'être l'un des premiers exportateurs mondiaux avec des salaires très élevés. En France, on est doué pour les produits de luxe ( si le prix augmente, c'est en général un bon signe dans cette industrie), le décolletage ( dans la vallée de l'arve), les produits où on subventionne beaucoup ( agriculture ). Pour toutes ces entreprises, la mondialisation c'est l'ouverture des marchés sans réelle augmentation de la concurrence.
2)une nouvelle organisation du travail : le toyotisme avec ses 5 zéros (zéros papier,zéro stock,zéro délai,zéro panne, zéro défaut) avec une forte flexibilité ( 70% des embauches en CDD par exemple).
3)Et puis la nouvelle exigence économique, c'est surtout licencier pour diminuer le coût de production et se faire bien voir des actionnaires.

Ah, tu sais que tu me rassure dans un sens. J'ai fait une distinction entre le prix et hors-prix aussi.

Dans la compétitivité sur le prix, j'ai dit en gros que l'entreprise, pour faire face à la concurrence devait s'alligner sur les prix du marché. Mais étant donné qu'elle ne peut pas diminuer son prix de vente éternellement, parce que ces charges sont importantes, elle devait diminuer ces dernières pour ne pas tomber dans la vente à perte.
Dans la compétitivité hors prix, j'ai parlé de la sous-traitance. Sans détailler tout les types de sous-traitance, j'ai évoqué les avantages de la sous-traitance de qualité, à savoir le savoir-faire du sous-traitant, ainsi que l'ajout de nouvelles fonctionnalités ou options, qui permettront au vendeurs de vendre ses produits de vendre ses produits comme étant de luxe. J'ai du dire d'autre trucs sur la sous-traitance, mais je ne me souviens plus.

Sinon, j'ai aussi parlé du toyotisme, mais tu me fais peur en me parlant des 5 zéros, certe, on l'a vu en cours, mais je ne me rappellais plus que c'était de lui. D'ailleurs, à vrai dire, je ne sais même plus ce que j'ai dit là dessus.

De quoi aussi ais-je parlé ?
Les délocalisation pour diminuer les coûts, mais délocaliser entrainait une moins bonne confiance des clients qui vont commencer à douter de la qualité des produits qu'ils achètent.
C'est peut-être bien tout. Cela fait une semaine que je l'ai écris. Lorsque la prof rendra la copie, je t'écrirais ce que j'avais écris, et les remarques qu'elle m'aura faites

ok

Elle a rendue la feuille, 2/7. C'est bien pourri, alors que je trouvais que j'avais bien mené mon affaire, pour une fois.